Sur l’île de Crète, chaque recoin est un terrain de jeu pour Icare, le fils du grand inventeur Dédale. Lors d'une exploration près du palais de Cnossos, le petit garçon fait une étrange découverte : un enfant à tête de taureau y est enfermé sur l’ordre du roi Minos.
En secret de son père, Icare va pourtant se lier d’amitié avec le jeune minotaure nommé Astérion. Mais le destin bascule quand ce dernier est emmené dans un labyrinthe. Icare pourra-t-il sauver son ami et changer le cours d’une histoire écrite par les dieux ?
Le film reste plus aventureux et moralement ambigu que la plupart des productions animées dont il ne pas reprend pas les standards. Ecran Large
Le cinéaste revisite brillamment le mythe à travers un scénario aux accents de tragédie antique et une animation virtuose. L'Obs
Sans rien déflorer de l'intrigue, on est assez impressionné par la manière dont le réalisateur apporte une touche de modernité à ce récit millénaire, transformant la tragédie du destin funeste d'Icare en une histoire d'amitié d'une grande douceur, traversé de fulgurances poétiques. Le Figaro
Au final, une vraie tragédie pour enfants, filmée à hauteur de regard du jeune Icare, et avec la même intelligence poétique que celle des chefs-d’œuvre de Michel Ocelot. Télérama
Épopée mythologique chuchotée, murmurée dans les ruines de Cnossos, portée par un véritable sens de la tragédie et du cinéma (la musique baroque en contrepoint, l’animation poussée dans ses retranchements…), Icare n’est pas très loin du sans faute. Première
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